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[L1] - Un groupe de dix-huit joueurs aux Sables d'Olonne |
le 26/05/05 |
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En raison des incertitudes qui planent encore sur les participations de Nicolas Savinaud (cuisse), David Leray (genou) et Alexander Viveros (fatigue musculaire), Serge Le Dizet a emmené un groupe de 18 joueurs en stage (Landreau suit toujours un entraînement à la carte) :
Landreau, Thébaux - Savinaud, Leray, Cetto, Delhommeau, Guillon, Viveros, Stinat - Bocundji Ca, Faé, Rubil, Yapi, Da Rocha - Bagayoko, Diallo, Bratu, Glombard.
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[Maintien] - Jean-Luc Gripond a décidé de se taire... |
le 24/05/05 |
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Jean-Luc Gripond qui a participé à quelques émissions de radio après la défaite de samedi à Bonal a décidé qu'il ne parlerait plus jusqu'au prochain match contre Metz. La réunion qui devait avoir lieu hier entre l'actuel Président du FC Nantes, Robert Budzynski et Serge Le Dizet n'a pas eu lieu. Selon le club, elle aurait été annoncée à tort par la presse. Si Jean-Luc Gripond ne parle plus, Patrick Dessault se fait fort de parler pour lui dans France Football. Ça ne manque pas de sel...
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Morceaux choisis du papier de Patrick Dessaut.
"(...) Jean-Luc Gripond n'aura pas le loisir de virer un quatrième entraîneur. C'est lui qui va prendre la tengente, tant son patron (Dassault), ses joueurs et les supporters en ont assez de ce président qui traîne derrière lui un lot de casseroles au bruit insupportable"
Jean-Luc Gripond se confie à Kleber Bobin.
"(...) à un coup de fil d'un interlocuteur mystérieux, il a répondu : Je saurai prendre mes responsabliités...". il aurait également avoué à Kleber Bobin, son prédécesseur, assis à ses cotés, qu'il était grand temps pour lui (Jean-Luc Gripond) de s'en aller."
Telle une bernique à son rocher...
"(...) Quelques heures plus tard, il était toujours accroché aussi fermement qu'une bernique à son rocher"
"(...) Que faut-il de plus pour qu'il prenne la porte, ses cliques et ses claques sans dire merci en la refermant ? Que Nantes soit en L2 ? Qu'il se rassure c'est fait ou en voie de l'être"
Gripond mauvais pilote
"(...) à l'époque, ils étaient déjà quelques uns à avoir compris que Jean-Luc Gripond n'est qu'un pilote de second plan, qui a déboulé des circuits de Formule 1, à Nantes, on se demande comment et à partir de quels critères !"
Qu'il s'en aille avant Metz et de graves débordements .
"(...) Une grande partie des supporters ont promi un samedi de feu si Gripond était toujours à la tête du club lors de l'ultime match face à Metz. Une menace à laquelle, en temps normal, il ne faudrait pas céder ou ne pas prêter plus qu'une oreille attentive, mais, en la circonstance, sa présence dans les tribunes de La Beaujoire, peut conduire à des débordements qui peuvent entrer dans les annales d'un club d'ordinaire si calme."
Dassault en est conscient
"(...) Le départ de Jean-Luc Gripond est donc dans les tuyaux, beaucoup de présidents de L1 le savent. Si Gripond a été convoqué récemment à Paris au siège de la société Dassault, ce n'était pas pou rêtre félicité. (...) Dassault devra trouver en son sein un responsable capable de prendre le manche pour gouverner un bateau ivre en L2. Quel gachis !"
Dessault Président ?
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[Maintien] - Jean-Luc Gripond fera-t-il son propre bilan ? |
le 23/05/05 |
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Jean-Luc Gripond s'est fendu de quelques commentaires sur la situation. Ils valent leur pesant de cacahuètes. « Je considérerai la descente comme un échec », a-t-il affirmé. Il serait évidemment difficile de prétendre le contraire. Mais encore ? « Je souhaite que tout le monde fasse son bilan, avec le plus d'honnêteté, que les choses s'assainissent et se disent », a-t-il déclaré. On aimerait que le président commence par faire le sien et en tirer les conséquences. Avec honnêteté. En démissionnant donc.
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Même si on sait que cela équivaudrait à renoncer à d'éventuelles indemnités, lesquelles, vu son salaire, ne manqueraient pas d'être coquettes. Mais étant donné les circonstances, Jean-Luc Gripond ne pourrait-il pas accomplir un effort : renoncer à ses indemnités ? Ensuite, il ne sera pas difficile de trouver un président plus compétent, tout en le salariant moins cher. A condition cependant que les recherches ne soient pas menées par Serge Dassault.
Mais continuons avec les états d'âme de Jean-Luc Gripond. Serge Le Dizet ayant déclaré dès samedi soir qu'il lui plairait de continuer à Nantes, même en L2, son cher président a immédiatement rectifié le tir : « Lui, c'est l'entraîneur, moi je suis président depuis trois ans, il faut que j'en parle avec l'actionnaire. C'est complexe et je ne me prononce pas là-dessus ». Ce qui sous-entend clairement que Jean-Luc Gripond veut continuer à se prononcer sur d'autres problèmes. Et donc qu'il ne démissionnera pas. Honnêtement, qu'en pensez-vous ? Précisons aussi que Jean-Luc Gripond est en place, hélas, depuis plus de trois ans. Il y a très exactement trois ans et demi qu'il a viré Raynald Denoueix.
D'autre part, ce lundi, Serge Le Dizet doit rencontrer lundi Robert Budzynski et Jean-Luc Gripond pour déterminer quel est le meilleur moment pour les dirigeants pour s'adresser aux joueurs. En début de semaine ou pendant le stage de jeudi et vendredi aux Sables D'Olonne ? Sacré problème effectivement. Rappelons que la dernière fois où Jean-Luc Gripond a parlé aux joueurs, c'était avant le match à Boulogne…
Un mot à propos de Jean-Marc Ayrault pour finir. Il a déclaré : « Je ne veux rien dire avant le dernier match du championnat mais ce qui arrive est décourageant et triste. » C'est ce qui s'appelle asséner une évidence. Mais qui a choisi la Socpresse comme repreneur ? Et que dira éventuellement le maire de Nantes après le dernier match ?
(B.V.)
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