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Ça valait mieux qu’un nul.
Nantes / Monaco (0 - 0) - 25ème journée (samedi 5 février à 20h00)
Frédéric Da Rocha si près du but.  

A n’en pas douter c’est bien la très bonne performance d’ensemble des Nantais qui a donné l’impression que les Monégasques n’étaient pas dans un bon soir. Le bilan des joueurs de la Principauté est mince : totalement privés de ballons en première période et fatigués en seconde, à force d’avoir couru dans le vide, ils n’ont jamais véritablement inquiété Mickaël Landreau. Pourtant, même sans être rayonnantes, les individualités monégasques peuvent marquer à tout moment. A contrario, le FC Nantes ne peut pas compter sur un exploit individuel pour concrétiser logiquement ses bonnes intentions. Ce bon point pris face au 3ème est tout de même assombri par l’inquiétante blessure de Jérémy Toulalan,. La progression de FC Nantes risque d’être remise en cause par une éventuelle longue absence de son meilleur élément.


(© 2005) FCNantes.com (www.fcnantes.com/0405/ch25apNantMona.php)
[FCNantes.com] - Notes Presse et Web
Notes des joueurs
               
  F.F. L'Equipe O.F. Foot365 FCN...com Total Moy. (**)
35.565.55.525.55.6
46.565.56286.1
35.565.55.525.55.6
46.575.56296.3
35.55.55.5625.55.6
364.55.55.524.55.4
47667306.5
35.56.566275.9
265.555.5245.3
24.5454.5204.5
34.554.55224.9
34636259.562.528161.7
  (*) Joueur dans l'équipe type de la journée.
(**) La moyenne pondère la note FF de (+2.5)
               


Document sans titre
Notes sur les joueurs

Landreau : Quelques interventions dans les airs sans réel danger, une superbe sortie à la manière d’un libéro devant Plasil, une bonne gestion des relances, tel est le bilan du gardien nantais. Sa défense et le travail de replacement de l’ensemble de l’équipe ont réduit son boulot à la portion congrue. Il a juste manqué une relance au pied sur Yapi (5.5)

Delhommeau : Il a peut-être été moins efficace dans les relances qu’à l’accoutumée. Mais ça n’a pas vraiment altéré une performance par ailleurs remarquable. Ce léger déchet est essentiellement du à une prise de risque grandissante au fil des rencontres. Il prend confiance, ses relances sont souvent millimétrées, dans le bon tempo et à raz terre : un régal pour le destinataire. A son actif, quelques dribbles de dégagements plein de culots, des changements d’aile exceptionnels et une domination sans partage dans les airs. Du très bon Delhommeau qui donne à penser que sa longue absence a pesé dans les mauvais résultats de son équipe avant la trêve. (6)

Cetto : Plus sobre que ses deux partenaires, il ne s’est pas aventuré dans le jeu au-delà de la ligne médiane. Il reste très appliqué, avec le soucis de bien relancer lorsque ça ne présente aucun risque. Il a parfaitement dirigé sa défense et son placement a été sûr, notamment sur un tacle au-devant d’Adebayor qui avait l’opportunité de se présenter seul face à Landreau. Que peut-on lui reprocher ? quelques détails : on aimerait le voir marquer sur les corners ou coup-francs, car les tireurs essayent souvent de le servir. On aimerait qu’il inspire encore plus de sérénité derrière, car dès que la pression adverse est plus pesante, il dégage parfois trop à l’emporte pièce. (5.5)

Guillon : C’était son retour. Il n’avait pas été titularisé en championnat depuis Bastia. Il assumait par conséquent un rôle de remplaçant choisi pour la circonstance (absence de Quint). A en juger par sa performance, la fréquentation prolongée du banc ne lui a pas fait perdre son temps et son moral n’a pas été entamé. A n’en pas douter, durant cette période de purgatoire, il a beaucoup travaillé et énormément observé, comme s’il avait calqué sa prestation sur celles de Delhommeau. Il a joué beaucoup plus juste dans les relances, même si ce ne fut pas encore parfait, et il n’a pas hésité à pousser ses actions quand il en avait l’opportunité. Or un défenseur qui monte, ça déstabilise toujours un adversaire pas organisé en conséquence. Mais c’est surtout dans son travail purement défensif qu’il a impressionné. Beaucoup plus pressant sur son adversaire direct, il a aussi brillé dans l’anticipation. Il a un peu baissé de pied après une première mi-temps de toute beauté. On a parfois eu la dent dure avec lui, notamment car il bénéficiait d’une bienveillance pas toujours justifiée. On n’essaiera dorénavant de ne pas oublier qu’il est aussi capable d’évoluer à ce très bon niveau. Bravo ! (6)

Da Rocha : De retour de blessure, il retrouvait aussi son poste dans le couloir dans une organisation en 3-5-2. Il devait malgré tout jouer un peu plus bas. Lui qui déclare avoir besoin d’enchaîner les matchs pour retrouver son niveau, il n’a pas vraiment donné l’impression d’avoir manqué les deux dernières rencontres, même s’il a été plus discret dans le dernier quart d’heure. Extrêmement précieux face à Plasil, le seul joueur offensif monégasque à vraiment se battre, il devait aussi surveiller les montées d’Evra. Les Monégasques étaient susceptibles d’être en surnombre sur son coté, mais jamais Da Rocha n’a été débordé. Enorme travailleur, il a aussi pesé dans le jeu offensif, en offrant de bonnes solutions de une-deux et de changement de jeu. Dommage qu’il rate la balle de but. Il a alors manqué d’une maîtrise sans doute entamée par un jeu peu économe. (6)

Viveros : On n’avait pas oublié que Viveros avait été excellent lors du match aller. Suffisamment pour qu’on ne veuille pas l’enterrer par la suite, malgré des performances et des aptitudes peu orthodoxes. A l’époque, le commentateur s’était même risqué à une aventureuse comparaison avec Roberto Carlos… si si. Depuis, il était plutôt redescendu sur les traces d’Hamada Jambay. Mais son retour en forme était latent depuis un ou deux matchs. Il a confirmé ses progrès en livrant un très bon match dans le couloir gauche. On louera notamment sa disponibilité et sa bonne lecture du jeu de ses partenaires. Son entente avec Yapi ou Keserü a souvent été excellente. Il s’est même retrouvé dans quelques points chauds sans jamais gâcher les progressions collectives. En défense, il a livré aussi un match plus que correct. On notera malgré tout un léger déchet dans les passes : une broutille en comparaison à avec d’autres matchs. (5.5)

Toulalan : Quel début de match épatant ! Durant 4 ou 5 minutes, les Monégasques ont fait illusion en campant dans la moitié de terrain nantaise. Seulement Jérémy a fait ce qu’il fallait pour remonter le ballon avec brio tout en monopolisant l’attention de deux ou trois adversaires, ce qui eut évidemment pour conséquence de libérer des espaces pour ses partenaires et donc de faciliter les mouvements de relances. C’est ainsi que Nantes a pu jouer plus haut et que les Monégasques sont devenus beaucoup moins conquérants, entre des attaquants qui ne savaient pas s’ils devaient gêner les relances des défenseurs ou venir dans la zone de l’international espoir, et des milieux défensifs qui ne voulaient pas risquer le déséquilibre en venant le presser trop haut. Véritable métronome au milieu et récupérateur hors pair, Jérémy a parfois évolué à un niveau que peu de ses prédécesseurs ont atteint. Il faut en prendre conscience : le FC Nantes compte dans ses rangs un joueur d’exception (désormais 1er au classement des étoiles de France Football). Ce joueur aime véritablement son club (« je ne jouerai pas dans un autre club français je n’aime que Nantes »). Pour le garder, pour le faire progresser, pour en bénéficier aussi, le FC Nantes devra montrer beaucoup d’ambitions dans les années à venir… Sa blessure à l’heure de jeu a peut-être pesé dans l’issue de la rencontre puisque Nantes a nettement baissé de pied par la suite. (7)

Savinaud : Parfait complément de Toulalan au milieu, il fut moins en vue dans la récupération mais bénéficia de la liberté induite par l’activité de son partenaire. Il en profita pour créer de nombreux décalages, grâce à une bonne disponibilité et à une bonne lecture du jeu. On peut lui reprocher d’avoir un peu précipité sa première frappe au but, alors qu’il y avait mieux à faire. Son deuxième tir ne trouva malheureusement pas le cadre. Il a aussi mis sa défense en difficulté sur une passe en retrait hasardeuse. (6)

Yapi : Le virus qui l’a handicapé lors des deux rencontres qui ont suivi sa superbe prestation face à Rennes, est oublié. Il a retrouvé ses jambes et son activité. Il contribue notamment à l’accélération du jeu, car il voit plus vite que les autres, quand il ne garde pas trop le ballon. Auteur d’une excellente passe sur Keserü, il a souvent joué juste, en première intention et avec des changements de jeu bien sentis. Il a en outre ratissé quelques ballons dans les pieds adverses. Mais sa performance ne fut pas au niveau de celle d’il y a trois semaines. Il fut un peu timoré dans les duels et manqua quelques gestes techniques et quelques passes qui ont parfois annihilé certaines bonnes actions offensives. Il n’a pas non plus été très heureux sur les coups de pied arrêté qu’il aurait dû varier d’avantage. (5.5)

Keserü : Il a fait un très gros début de match, avec beaucoup de disponibilité sur tout le front de l’attaque et un repli défensif efficace aux abords de sa surface. Il fut aussi de tous les points chauds avec notamment une tête à deux doigts de faire mouche. Dans le jeu, ses prestations sont bien plus conséquentes que ce qu’il faisait avec la CFA. Malheureusement, il n’a pas toujours assuré des contrôles souvent trop longs ou ses passes en retrait, ce qui aurait même pu avoir des conséquences fâcheuses en deux occasions. Il a rarement fait les bons choix en choisissant trop systématiquement la frappe au but (il n’en a cadré aucune). Il faut tout de même préciser que s’il frappe ainsi de loin, c’est qu’il a souvent fait mouche dans cet exercice avec l’équipe réserve. Enfin, il ne tient pas encore la distance. On peut d’ailleurs deviner que son coach lui avait demandé de tout donner pendant une heure, avant de se faire remplacer, plutôt que d’essayer de gérer ses efforts. (4.5)

Pujol : Il a bénéficié enfin d’un peu de continuité puisqu’il enchaînait, pour la première fois de la saison, trois rencontres consécutives. Il est en progrès par rapport à ses deux précédents matchs. Il a joué dans son registre habituel : d’avantage de bons appels en soutien qu’en profondeur, un bon travail défensif, beaucoup d’altruisme, mais malheureusement peu de situations favorables devant le but et un dernier geste décisif mal assuré. On lui accordera malgré tout d’avoir beaucoup pesé, en ne ménageant pas ses efforts, sur une défense adverse qui n’était pas non plus la première venue. (5)

Dimitrijevic : Il n’avait jamais eu encore plus d’une demi-heure pour s’exprimer avec l’équipe première. Entré à la place de Toulalan, à un poste assez inhabituel pour lui qui n’est pas spécialement un récupérateur, il a tardé à se mettre dans le bon rythme. Il s’est amélioré au fil des minutes en se montrant disponible et en essayant de jouer juste et vers l’avant. Il a par contre concédé un coup franc dangereux dans les arrêts de jeu.

Diallo : Entré à l’heure de jeu à la place de Keserü, il a parfaitement intégré le rythme de la rencontre. Il dégage une véritable impression de sérénité dès qu’il a le ballon. Il ne le perd d’ailleurs pratiquement jamais. Il reste un joueur altruiste, plutôt qu’un buteur, comme le montre sa passe qui aurait pu être décisive pour Da Rocha. Un buteur aurait contrôlé le ballon dans le sens du but. Diallo a préféré faire l’inverse et ça a failli être payant

Capoue : Entré en fin de rencontre manifestement pour tenir le résultat et venir éventuellement gêner les relances longues des défenseurs monégasques, il s’est beaucoup dépensé un peu partout et a donc répondu au souhait de son entraîneur

Le Dizet : Depuis sa prise de fonction, le nouveau coach des Canaris a toujours fait les bons choix. La réussite tient souvent à peu de choses. De bonnes options peuvent devenir mauvaises quand le sort d’une rencontre est contraire. En optant pour un 3-5-2, une tactique qui n’a pourtant pas sa préférence, Le Dizet est parvenu à solutionner avantageusement les absences conjuguées d’un vrai latéral droit et d’Olivier Quint, tout en posant un problème tactique jamais résolu par les joueurs de Didier Deschamps. Densifier le milieu de terrain, alléger les couloirs peu utilisés par Plasil et surtout Kallon et privilégier l’axe (défense à trois), telles étaient sans doute les conclusions de débats animés entre le coach et son second. Nantes n’a pas gagné, mais Nantes a fait déjouer un Monaco surpris, vexé et sans réaction. On l’a même décelé un tantinet condescendant ce Monaco là. L’entrée en jeu de Dimitrijevic a été dictée par la blessure de Toulalan. On note malgré tout que le coach nantais n’a pas souhaité que ce changement bouleverse l’organisation initiale. L’entrée de Diallo à l’heure de jeu semblait prévue au départ. Enfin le remplacement de Pujol par Capoue participait d’une volonté de tenir le score en fin de rencontre… pour ne pas perdre le bénéfice d’un très bon match des Canaris.

Adversaire : Dans un mauvais soir ou à coté de la plaque du fait du jeu des Nantais ? Certainement un peu des deux. On peut penser que l’organisation tactique et la bonne entâme des Canaris ont perturbé Monégasques. Ceux-ci n’ont pas su réagir, comme s’ils s’attendaient plutôt à rencontrer une véritable équipe de bas de classement en proie au doute, comme s’ils avaient oublié qu’à l’aller déjà Nantes méritait la victoire. Il y eut même une certaine condescendance dans le non match de Kallon ou dans l’énervement de Zikos. Hormis, Roma, Squillaci et Givet, aucun monégasque ne fut au niveau attendu.

Arbitre : L’arbitrage fut correct dans l’ensemble pendant 75 minutes, avant de se désagréger sur la fin. Il est impensable que Zikos ne soit pas au minimum averti. Il est vraiment dommage que le tacle de Da Rocha ait été jugé illicite par l’arbitre de touche. Beaucoup de mauvaises décisions sur la fin. C’est dommage.

(© 2004) FCNantes.com (www.fcnantes.com/0405/ch25apNantMona.php)
le 6 février 2005

 

 

 
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